La fin du RTC, c’est pour bientôt ! En effet, le RTC, pour réseau téléphonique commuté, tire sa révérence après de longues années de bons et loyaux services.
Il est fondamental d’anticiper et d’analyser comment ce changement va se répercuter sur votre système téléphonique.
Pas d’affolement : des solutions alternatives s’offrent à vous pour permettre la migration vers des solutions plus modernes… En effet, le réseau RTC se voit partout dans le monde progressivement remplacé par le réseau IP.
Et, avec l’arrêt du RTC, la téléphonie en entreprise n’est plus limitée aux simples appels téléphoniques d’antan. Elle élargit son périmètre et devient stratégique pour la bonne communication, collaboration et productivité en entreprise. Par le biais d’une suite d’applications, elle permet notamment de rendre votre organisation plus flexible et agile en libérant l’environnement de travail de vos collaborateurs.
Dans cet article, nous vous détaillerons les différents points suivants pour vous permettre de comprendre les enjeux de l’arrêt du RTC sur le marché de la téléphonie d’entreprise :
- Qu’est ce que le RTC ?
- Comment fonctionne le RTC
- Pourquoi est-ce l’arrêt du RTC ?
- Comment sont nés les commutateurs téléphoniques ?
- L’entrée en scène du RNIS
- L’arrêt du RTC : l’agenda
- La fin du RTC chez nos voisins
- Qui sera concerné par la fin du RTC ?
- Quelles alternatives après l’arrêt du RTC ?
- Comment vous organiser pour l’après RTC ?
- Qui peut vous accompagner vers l’IP ?
RTC : Définition
Le RTC (Réseau Téléphonique Commuté) s’appuie sur une infrastructure historique qui permet la transmission des appels téléphoniques sur un réseau fixe.
Le réseau téléphonique commuté a été déployé en France dans les années 70/80 par France Télécom. Basé sur un système analogique, il a permis de démocratiser la téléphonie fixe, usage pour lequel il a été conçu.
Le RTC permet de relier les abonnés du système téléphonique à leur commutateur local, lui-même connecté à un commutateur régional, puis national puis international.
Le réseau téléphonique commuté (RTC) français fait partie d’un réseau mondial basé à l’origine sur un câblage appelé “cuivre”. La commercialisation par l’opérateur historique d’offres basées sur ce réseau est progressivement amenée à disparaître… C’est l’arrêt du RTC.
Comment fonctionne le réseau RTC ?
Le RTC fonctionne avec un poste d’abonné qui est relié à un commutateur téléphonique du réseau public par une paire de fils alimentés en batterie centrale.
Les commutateurs téléphoniques sont ensuite interconnectés entre eux par différents liens permettant un maillage de l’ensemble du territoire.
Pour les communications locales, les transmissions se font directement depuis les centres locaux. En revanche, pour des communications vers des utilisateurs plus éloignés, il faut passer par des centres régionaux, nationaux, voire internationaux, tous interconnectés.
Pourquoi est-ce la fin du RTC ?
Le réseau téléphonique commuté étant le réseau historique de la téléphonie fixe, il comprend quelques limites qui l’ont vite rendu obsolète avec l’arrivée d’internet et des échanges massifs de données.
En effet, il présente un débit nominal de 56kb/s pour un débit maximal théorique de 120kb/s, ce qui est extrêmement faible. Même si à la fin des années 90, nous arrivions à “surfer sur le web” à cette vitesse, aujourd’hui nous pourrions dire adieu à Netflix, à la visioconférence et au télétravail dans ces conditions…
La démocratisation du réseau internet a donc accéléré l’obsolescence du RTC devenu trop coûteux à opérer, de par sa redondance, sa faible évolutivité et le déclin de son écosystème industriel. L’arrêt du RTC est alors inévitable.
Orange a donc pris la décision, avec l’accord de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (Arcep), de mettre fin au maintien en condition opérationnelle de ce réseau et de faire basculer toutes les communications vers l’IP (Internet Protocol).Cependant, la fin du RTC ce n’est pas vraiment pour tout de suite. En fait, Orange parle de mettre fin au RTC de manière progressive.
Ainsi, depuis fin 2018 en métropole et depuis fin 2020 en outre-mer, il n’est pas plus possible d’ouvrir un nouvel accès à une ligne en « RTC », mais les lignes déjà existantes continuent de fonctionner jusqu’à leur fermeture technique. Ainsi, la fermeture définitive de ces lignes débutera à partir de 2023.
Un peu d’histoire : comment sont nés les commutateurs téléphoniques ?
La commercialisation du téléphone a débuté à la fin du XIXème siècle. Il était alors limité à un échange entre deux individus qui était directement reliés entre eux par un réseau privé. Vous souhaitiez rester en contact avec plusieurs correspondants ? Il vous fallait alors disposer de plusieurs lignes et postes téléphoniques. Pas forcément très pratique, ni adapté à une adoption de masse.
Les commutateurs téléphoniques étaient initialement manuels. Vous appeliez votre opérateur local qui se chargeait de vous mettre en relation avec votre interlocuteur en connectant vos extensions. Ces opérateurs disposaient d’un tableau de prises jack et de cordons appelés “dicordes”, permettant de connecter les utilisateurs entre eux.
Si vous souhaitiez joindre un abonné dans une autre zone géographique, l’opérateur se chargeait de vous connecter avec un autre central téléphonique. Vous n’aviez qu’à indiquer le numéro de votre contact et la localisation du commutateur dont il dépendait. En France, ces opérateurs étaient très majoritairement des femmes que l’on surnommait les “demoiselles du téléphone”. Ces femmes ont récemment inspiré une série Netflix 🙂
Le début du 20ème siècle a été marqué par l’automatisation de la fonction d’opérateur manuel. Jusqu’alors un luxe, le téléphone a pu enfin se démocratiser plus largement grâce à une réduction drastique des coûts d’opérations. C’est alors que naissent les concepts de la téléphonie que nous connaissons tous, la tonalité et les numéros d’appels.
L’entrée en scène du RNIS
Initialement électromécaniques, ces commutateurs évoluent rapidement vers l’électronique pour finalement passer à des systèmes numériques, entièrement informatisés. C’est là qu’entre en scène le RNIS, le Réseau Numérique à Intégration de Services.
Le RNIS est un réseau qui se veut numérique (Voix + Données) et non plus analogique comme le RTC qui ne permettait de faire transiter que la “Voix” ou des “Données”, mais pas les deux en même temps !
Il offre ainsi un débit très largement supérieur à son ancêtre puisqu’il atteint 2Mbits/s, contre seulement 56kb/s pour le RTC. Il permet ainsi de transporter, en plus de la voix, des données plus lourdes comme la vidéo ou des applications web.
En France le nom de RNIS n’est pas très parlant, ce service est plus connu sous le nom de « Numéris ».
Malgré cette évolution technologique, le RNIS ne répond plus non plus aux besoins grandissants en matière d’échanges de données et est également amené à disparaître.
Ce n’est donc pas seulement le RTC qui va prochainement tirer sa révérence, le RNIS est également concerné par ce virage technologique. Cela met fin également à la fameuse prise en T.
Fin du RTC : l’agenda
Si 2023 semble encore loin, Orange a cessé la commercialisation du RTC dès le 15 novembre 2018. Quant au RNIS, c’est depuis novembre 2019 que les entreprises ne peuvent plus y souscrire.
Ces basculements se feront par plaques, c’est-à-dire par groupe de communes ou par arrondissement, et s’étaleront jusqu’en 2030.
La fin du RTC a été planifiée par étapes sur plus de 10 ans :
- Novembre 2018 : Arrêt de la commercialisation des lignes RTC en France Métropolitaine
- Novembre 2019 : Arrêt de la commercialisation des lignes RNIS TO & T2 en France Métropolitaine
- Novembre 2020 : Arrêt de la commercialisation des lignes RTC dans les DOM/TOM
- Novembre 2021 : Arrêt de la commercialisation des lignes RNIS TO & T2 dans les DOM/TOM
- 2023/24 : Début de la fermeture technique par zones géographiques.
La fin du RTC chez nos voisins
Les autres pays délaissent également le réseau RTC avec un calendrier qui dépend de la population et donc du nombre de lignes concernées.
Remarquons que certains pays ont quasiment achevé ce changement.
- Autriche : Dès 2014, Telekom Austria a été le premier opérateur européen à basculer son réseau en IP
- Hongrie : Depuis la fin 2015, Magyar Telekom a finalisé sa transition vers l’IP
- Suisse : Depuis 2017, Swisscom a fait passer tous ses services télécoms à la technologie IP
- Allemagne: Depuis 2018, Deutsche Telekom a abandonné la commercialisation et l’exploitation du RTC
- Royaume-Uni : Depuis 2020, il n’est plus possible d’ouvrir une ligne fixe traditionnelle, et British Telecom ambitionne de passer au tout IP d’ici 2025.
- Etats-Unis : Depuis 2020, les opérateurs comme AT&T et Verizon sont passés à l’IP
- Pays-Bas : En 2021, l’opérateur historique KPN a déjà fait migrer plus de 85% de son réseau en VoIP
Qui sera concerné par la fin du RTC ?
Les lignes analogiques (RTC) et numériques (RNIS) étant vouées à disparaître, toute entreprise aujourd’hui équipée par ce type de ligne se voit forcée de migrer vers de la téléphonie IP.
Surtout cette migration peut s’avérer assez transparente pour les utilisateurs et apportera sans aucun doute bon nombre de nouvelles fonctionnalités pour votre entreprise.
Quel est l’impact de l’arrêt du RTC pour votre organisation ?
Si au sein de votre organisation, votre système de téléphonie utilise encore le RTC ou le RNIS (Numéris), alors il vous faudra migrer vers un service de voix sur IP.
Une opportunité pour votre organisation d’être plus efficace et agile puisque la VoIP vous donne accès à de nombreuses fonctionnalités innovantes.
Vous pourrez en effet profiter d’un softphone pour appeler directement depuis votre PC, accéder facilement à des chambres de conférences ou encore bénéficier de fonctionnalités de visioconférence…, le tout à partir d’une simple connexion internet.
Quelles alternatives avec la fin du RTC ?
Avec l’arrêt du RTC, plusieurs alternatives s’offrent à vous.
Commençons par celle qui sera obligatoire : le changement de votre lien téléphonique !
En effet, vous devrez remplacer votre lien téléphonique RTC ou RNIS par une ligne SIP, grâce à l’utilisation d’un Trunk SIP qui sera votre porte d’entrée sur le réseau téléphonique IP.
Ensuite, vous disposez de plusieurs options :
1. Conserver votre installation téléphonique existante
Vous ne changez que votre lien télécom et conservez votre installation existante. Vous connectez vos Trunks SIP par le biais d’une passerelle analogique / numérique vers SIP, chargée de la conversion du flux. C’est une première étape dans votre transition après l’arrêt du RTC.
Avantage :
- Le coût ! C’est en effet la plus compétitive et la moins chronophage à court terme. Vous conservez votre PABX ou IPBX, vos postes téléphoniques et n’avez pas besoin de faire évoluer le câblage de vos sites.
Inconvénients :
- Vous n’aurez pas accès aux fonctionnalités avancées qu’offrent un système de communication d’entreprise moderne. Difficile alors d’envisager pour vos salariés de profiter du télétravail, de la mobilité ou d’outils de collaboration et de productivité.
- Vous disposerez par ailleurs d’une solution en fin de vie, qui bénéficiera d’un support limité et de coûts d’opération élevés. L’avantage du coût à court terme peut vite se révéler être un désavantage à moyen terme.
2. Faire évoluer votre système téléphonique avec un IPBX moderne
Vous choisissez d’investir dans un système de communication IP de bout-en-bout, du poste téléphonique à la liaison opérateur. Vous faites donc l’acquisition d’un IPBX moderne, avec tous les périphériques associés. Il conviendra de vous assurer que votre réseau IP est conforme aux exigences de la VoIP grâce à l’accompagnement de votre opérateur ou intégrateur télécom.
Avantages :
- Accès à de nouvelles fonctionnalités de communication d’entreprise. Vous pouvez moderniser votre organisation et permettre à vos collaborateurs de bénéficier d’un système de communication collaboratif adapté aux enjeux de télétravail et de la mobilité.
- La modernisation de votre installation vers le tout-IP permettra de simplifier votre gestion opérationnelle et de réduire vos coûts d’opérations. En effet, les systèmes analogiques ou numériques vieillissants ont des besoins de maintenance élevés et l’expertise se fait de plus en plus rare.
- Avec le passage vers le tout-IP, plus besoin de centaines de câbles pour faire fonctionner votre téléphone. En effet, vous avez la possibilité de raccorder vos postes sur le même câblage IP et de n’utiliser qu’une seule prise pour votre téléphone et votre ordinateur.
Inconvénient :
- L’investissement nécessaire pour passer vers une installation IP de bout en bout peut être important. Vous devrez prévoir de faire l’acquisition de postes téléphoniques IP compatibles avec votre IPBX. Par ailleurs, il convient de s’assurer de disposer d’un câblage IP sur site compatible avec les besoins de la VoIP.
3. Souscrire à une offre de Centrex IP d’un opérateur
Vous pouvez opter pour une solution de téléphonie IP, dite “Centrex IP” opérée par votre opérateur télécom. Vous externalisez ainsi l’ensemble de la gestion de votre solution de téléphonie. Le Centrex IP constitue ainsi une évolution de l’IPBX dans son mode de distribution et de commercialisation des services de téléphonie IP.
Avantages :
- La simplicité ! Vous bénéficiez d’une offre lisible, avec des engagements clairs et une maîtrise de vos coûts.
- Vous pouvez vous focaliser sur votre cœur de métier. Le Centrex IP n’entraîne aucune dépense d’installation ou de maintenance puisque toute l’infrastructure est hébergée chez votre opérateur. Il permet également de réaliser des gains de temps au niveau du déploiement et de l’installation.
- Vous pouvez faire évoluer votre système de téléphonie vers des fonctionnalités plus avancées tels que les conférences audio, la messagerie instantanée, le SVI, la distribution d’appels et bien plus encore. Le centrex IP est certainement adapté aux entreprises TPE et PME ayant des besoins simples de téléphonie.
Inconvénient :
- Le Centrex IP n’est pas une évolution fonctionnelle majeure de la téléphonie mais un changement dans le modèle de distribution du service.
- Certaines entreprises disposent de contraintes de sécurité et de confidentialité très fortes qui ne leur permettent pas d’envisager une externalisation de leur standard téléphonique d’entreprise. C’est notamment le cas des professionnels dans le domaine de la santé ou la banque.
- Les usages d’un centrex sont généralement limités aux simples fonctionnalités de téléphonie que l’on retrouve d’un PABX. Vous ne pourrez donc pas profiter de fonctionnalités collaboratives telles que la visioconférence ou la messagerie instantanée.
4. Passer à l’UCaaS
Vous pouvez souscrire à une offre UCaaS (Unified Communication as a Service) ou Communications Unifiées en tant que Service en Français.
Ces nouvelles solutions de communication d’entreprise vous permettent d’échanger en audio, en vidéo ou en messagerie instantanée n’importe où, depuis tous vos appareils, via le cloud. Grâce à une application, vous disposez ainsi d’outils de communication et de collaboration pour échanger avec vos collaborateurs et vos clients.
C’est la solution a privilégié après l’arrêt du RTC.
Avantages :
- Avec l’UCaaS pas besoin d’un lourd investissement car tout est dématérialisé. Vous n’avez plus besoin d’acheter du matériel, de prévoir des mises à jour ou de la maintenance, tout est géré par votre prestataire. Vous installez directement un logiciel sur votre ordinateur et vous êtes opérationnel.
- Les offres UCaaS se veulent simples et lisibles grâce à une approche tout-en-un à l’usage. Généralement proposées selon un mode de facturation par utilisateur, vous savez exactement ce que cela vous coûte. “Pay as you grow” comme on dit de l’autre coté de l’Atlantique.
- L’UCaaS rationalise le nombre d’outils de communication au sein de votre entreprise : la visioconférence, le standard téléphonique, la messagerie instantanée, la gestion de votre centre de contact, etc
- Vos employés peuvent travailler depuis leur domicile sans aucun équipement spécial et sans les limites d’un système téléphonique sur site.
- Une offre UCaaS s’intègre aisément à vos outils métiers (CRM, Helpdesk, ERP…) pour faciliter le travail de vos employés et proposer une expérience client unique.
Inconvénient :
- Les offres UCaaS sont généralement hébergées par des tiers. Si cela présente de gros bénéfices opérationnels, il convient donc de bien valider son prestataire sur lequel reposera la sécurité et la performance de votre système de communication.
- La compatibilité des postes téléphoniques chez les fournisseurs UCaaS peut se retrouver limiter. Il existe certains prestataires qui ne proposent plus de postes physiques et qui promeut une approche 100% virtualisée.
Comment vous organiser pour l’après RTC ?
La route vers le tout IP et la fin du RTC est donc enclenchée partout dans le monde. La VoIP devient le standard.
Selon les alternatives que nous venons de vous présenter, l’arrêt du RTC impose :
- L’audit de votre système téléphonique existant et de vos locaux
L’objectif est d’évaluer la compatibilité de vos installations (Réseau LAN, câblage, …) et de vos équipements (Postes téléphoniques, terminaux de paiement, alarmes, caméra de surveillance, …) avec les exigences de la VoIP.
- L’évaluation de vos besoins fonctionnels
La récente crise sanitaire a bouleversé les méthodes de travail des entreprises. Par conséquent, l’environnement de travail du collaborateur devient hybride avec la nécessité de pouvoir disposer des mêmes outils en télétravail et au bureau.
- Valider son mode de déploiement
Vous avez la possibilité d’opter pour un déploiement sur site, un hébergement dédié ou Cloud mutualisé. Tout dépend de vos contraintes opérationnelles et de vos exigences en matière de sécurité.
- Modèle de tarification
Il existe 2 modes de financement :
- l’OpEx qui présente des avantages quant aux investissements initiaux, mais aussi en flexibilité, ce qui vous permet de faire évoluer votre solution en fonction de vos besoins.
- Le CapEx où vous investissez entièrement dans votre transition, mais dans ce cas vous devrez ré-investir en permanence à chaque besoin supplémentaire ou évolution technologique
Qui peut vous accompagner après la fin du RTC ?
Par conséquent, la transition vers le tout IP et la fin du RTC demande de définir vos besoins actuels et à venir, afin de choisir la solution qui répondra au mieux à vos attentes.
Vous pouvez vous rapprocher de votre intégrateur ou opérateur actuel pour faire un point sur votre situation.
Si vous n’en avez pas, de nombreux intégrateurs ou opérateurs vous proposent des services de télécommunications tels que le lien Internet, la téléphonie, l’interconnexion sécurisée de site, l’hébergement, la mise en œuvre ces services et procèdent aux installations des équipements et des réseaux nécessaires. au sein de votre organisation
Maintenant, vous connaissez tout de l’arrêt du RTC. N’hésitez pas à relayer et à partager cet article s’il vous a semblé utile.
Pour aller plus loin, nos experts sont à votre disposition pour vous aider à vous organiser lors de votre migration vers la téléphonie IP ou simplement mettre à jour vos installations. Visitez notre page dédiée pour en savoir plus.
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